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Covid-19: Après le Ghana, la Côte d’Ivoire reçoit 504.000 doses de vaccin du Covax

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Après le Ghana, la Côte d’Ivoire a reçu vendredi 504.000 doses de vaccin contre le Covid-19 financés l’OMS à travers le programme Covax.

Selon l’AFP, 504.000 doses de vaccin AstraZeneca/Oxford sont arrivées à l’aéroport international d’Abidjan à bord d’un avion de la compagnie Emirates affrété par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef). Ce premier lot va servir au démarrage de la campagne de vaccination pour les cibles prioritaires.

En effet, la livraison de doses de vaccin à la Côte d’Ivoire et au Ghana intervient après le lancement de la campagne de vaccination au Sénégal mardi, à la suite de l’Afrique du Sud, du Zimbabwe, des Seychelles, de l’Ile Maurice, du Rwanda, de la Guinée équatoriale, de la Guinée, de l’Algérie, du Maroc et de l’Egypte.

La Côte d’Ivoire, pays de 25 millions d’habitants, enregistrait vendredi plus de 32.000 cas confirmés de coronavirus et près de 190 morts.

Voici comment la crise en RCA paralyse l’économie camerounaise

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Selon les syndicalistes, plus de 1600 emplois, composés des chauffeurs et de leurs motos boys sont actuellement en chômage et en souffrance.

Le 18 février 2021, près de 100 camions sont groupés à la frontière entre le Cameroun et la République Centrafricaine (RCA) à Garoua-Boulaï dans la région de l’Est. Chargés des marchandises diverses, ces véhicules sont en partance pour la RCA.

«Ces camions sont ici depuis plus de deux mois parce que les parcs des gros porteurs sont pleins. Actuellement, nous avons plus de 800 camions stationnés à Garoua-Boulaï et environ 1500 sur le corridor Douala-Bangui. Les deux parcs de la ville à savoir celui de la sous-préfecture et le parc principal au pont bascule sont pleins. Nous sommes actuellement à l’attente des forces de sécurité pour accompagner le convoi si possible demain », explique à journal Ecomatin, Mahamat Diguia, membre du Bureau exécutif du syndicat national des chauffeurs professionnels du Cameroun (Synprocam).

Ces escortes sont le fruit d’une négociation entre le président centrafricain, Faustin Archange Touadéra et l’armée russe qui, avec l’appui des forces armées centrafricaines (FACA) et les éléments de la Minusca accompagnent les camions transportant les marchandises entre Garoua-Boulaï et Bangui.

« Il y a des chauffeurs en colère parce qu’ils sont ici depuis le 23 décembre 2020 et n’arrivent plus à payer les frais de parc. Le parc étant le poumon économique de la commune, aucune recette n’est encaissée et la commune est paralysée financièrement », se plaint Ghislain Golike, chef de l’un des parcs de la ville.

Ascension du Mont Cameroun : Ali Mohamadou et Kitang Mildred Ntumeku vainqueurs

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Ali Mohamadou est le premier athlète à franchir la ligne d’arrivée de la 26ème  édition de la Course de l’Espoir du Mont Cameroun (à Buea). 

Ascension du Mont Cameroun ce samedi 27 février 2021, les titres de Godlove Gabsibuin et Tatah Carine sont remis en jeu. La 26ème édition de la Course de l’espoir connaît la participation de 500 athlètes qui étaient prêts pour le coup d’envoi de la compétition. En effet, La course à pied, déroulée sur environ 42 kilomètres dans un relief abrupt ce samedi à Buea, a sacré de nouveaux champions, notamment Ali Mohamadou, chez les Messieurs et Kitang Mildred Ntumeku chez les Dames.

Le podium chez les Messieurs est complété par Godlove Gabsibuin a traversé la ligne d’arrivée au stade omnisports Molyko en deuxième position. Fai Elvis, un ancien vainqueur, est arrivé cette fois, troisième. Le trio de tête de cette 26eme édition, ont pour dénominateur commun, le fait qu’ils viennent tous de la Région du Nord-Ouest.

Chez les Dames, Tatah Carine, la championne de l’année dernière, était en passe de rééditer son exploit quand elle s’est fait doubler au stade Molyko, à quelques mètres de la ligne d’arrivée par Kitang Mildred Ntumeku. La kenyane Agnès Jepkosgei est montée sur la troisième marche du podium.

Covid-19 : pourquoi la contamination s’accélère

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A ce jour, le Cameroun enregistre 33 749 cas confirmés. 31 362 personnes ont été guéries, soit un taux de guérison de 93%. Le nombre de personnes décédées est de 523.

En l’espace d’une semaine, soit entre le 16 janvier- 23 janvier 2021, le Cameroun a enregistré 1607 nouveaux cas. Les données sont du ministre de la Santé publique, Manaouda Malachie (Minsanté).

Depuis environ deux mois, le Minsanté ne cesse d’appeler à plus de vigilance. Pas plus tard que le 23 février dernier, Maitre Céline Rose Mbarga décédait des suites de coronavirus au Centre Orca à Yaoundé.

« Le taux national d’occupation des lits a triplé en deux mois. Des formes sévères de la maladie attaquent les jeunes. L’heure est grave », a publié le Dr Roger Etoa sur sa page Facebook.

 

« A tous ceux qui continuent de spéculer. Notez que la situation du covid peut à tout moment s’empirer du fait de nos comportements. Nous passons du taux d’occupation de 0,5 à 5 %. L’heure est au respect des mesures barrières et au port du masque en attendant le vaccin », a écrit Manaouda Malachie il y’a quelques jours.

A ce jour, le Cameroun enregistre 33 749 cas confirmés. 31 362 personnes ont été guéries, soit un taux de guérison de 93%. Le nombre de personnes mortes est de 523. Le taux de létalité est de 1,5%. Le taux de sévérité s’élève à 1,6%.

Extrême-Nord: 19 organisations de la société civile offrent des dons aux victimes des attaques de Boko Haram

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Elles ont reçu des denrées alimentaires et du soutien moral pour tenir le coup des atrocités causées par la secte terroriste.
 

Riz, sucre, maïs, huile de cuisine, foyers améliorés et cartons de savon. Ce sont les dons offerts le 23 février 2021 par 19 Organisations de la société civile (OSC) aux victimes des attaques et exactions de Boko Haram. Basées dans la région de l’Extrême-Nord, ces OSC ont par ces dons, apporté leur soutien aux familles meurtries par la secte islamiste nigériane.

Ce geste intervient au lendemain de l’attentant perpétré par Boko Haram le 8 janvier 2021 à Mozogo dans l’arrondissement de Mayo Moskota, département du Mayo Tsanaga. Une kamikaze avait fait exploser une bombe lors de l’attaque en pleine nuit dans un camp de réfugiés. Le bilan provisoire est de 13 personnes tuées, dont deux enfants de quatre et cinq ans, ainsi que six adolescents.

Pour conjurer cet acte barbare, «nous avons décidé de venir vers nos frères et sœurs pour les soutenir moralement, mais aussi leur dire que nous serons toujours à leur côté», a précisé chez nos confrères de la CRTV, Marthe Wandou, représentante des OSC. Non sans adresser une lettre de condoléances aux familles des victimes. Des dons accueillis avec satisfaction par les victimes qui se sont sentis «réconfortées», a indiqué Boukar Alhadji, représentant des bénéficiaires.

Un geste humanitaire apprécié par le sous-préfet du Mayo Moskota. Toudje Voumou a salué la gratitude de la population de l’arrondissement aux responsables des OSC de l’Extrême-Nord et rassurer les populations par rapport aux dispositions sécuritaires prises pour ramener le calme et la sérénité.

Cameroun – Partenariat: Le ministre de l’Enseignement Supérieur Jacques Fame Ndongo et l’ISEP-FM de Françoise Mbango adoptent une plateforme de collaboration et de capacitation académique

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Les échanges entre l’icône mondiale de l’athlétisme et le ministre d’Etat ont notamment porté sur les questions liées au tutorat académique et à la coopération internationale dans le but de garantir la lisibilité académique de l’Institut de la double championne olympique à l’étranger.
 

Désormais partenaires. Le ministère de l’Enseignement Supérieur et l’Institut des sports et de l’éducation physique Françoise Mbango (ISEP-FM) vont travailler ensemble pour consolider l’assurance-qualité dans ce nouvel Institut privé d’enseignement supérieur. Le communiqué parvenu à Heuredafrique.com ce 26 février indique que la collaboration a été scellée au cours de la cérémonie qui a eu lieu le 24 février 2021 de 15 heures 30 à 17 heures dans la salle de conférences du ministère de l’Enseignement Supérieur, à Yaoundé.  

«Le ministre d’Etat (Jacques Fame Ndongo) et la promotrice de l’ISEP-FM (Françoise Mbango) ont adopté  consensuellement une plateforme de collaboration et de capacitation académique dans le strict respect du système LMD et dans la logique inhérente au triptyque universitaire prescrit  par le chef de l’Etat: assurance-qualité, professionnalisation des enseignements, employabilité des diplômés (auto-emploi ou insertion professionnelle dans le circuit de la production)», peut-on lire dans le compte-rendu de la réunion. Selon ce document, les échanges ont permis d’affiner les questions liées au tutorat académique, à la formation en alternance, au Temps Libre de l’Etudiant (TLE), à la numérisation des cours, à la qualité de la recherche, de l’enseignement à l’appui au développement, à la coopération internationale pour garantir la lisibilité académique de cet institut, hors des frontières camerounaises.

L’établissement fondé par Françoise Mbango bénéficie d’un double agrément. Le premier, délivré par  le  ministère de l’Enseignement Supérieur le 13 mai 2020 couvre le volet académique. Le second, remis par le ministère des Sports et de l’Education Physique le 19 septembre 2020 couvre le volet technico-professionnel. L’établissement, pionnier dans son domaine au Cameroun et en zone CEMAC,  a ouvert  ses portes le 15 octobre 2020. Son campus se trouve à Ahala dans l’arrondissement de Yaoundé 3ème. Les étudiants sont formés dans les filières techniques et sciences sportives et management des sports.  

L’Institut des sports et de l’éducation physique Françoise Mbango «veut accompagner l’Etat dans la politique de formation et de l’emploi des jeunes, innover en matière de management et de gestion des organisations sportives, former des entraîneurs sportifs, assurer la reconversion du sportif de haut niveau en fin de carrière, initier les étudiants à la maîtrise des industries du sport et de l’événementiel sportif», lit-on par ailleurs dans le communiqué.  

 

Cameroun – Crise anglophone : Human Rights Watch accuse l’armée camerounaise de viol d’au moins 20 femmes à Ebam (Sud-Ouest) en mars 2020

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L’ONG internationale estime qu’il s’agit de la pire attaque des forces de défense et de sécurité camerounaises sur des civils ces dernières années, et la dénonce dans un rapport rendu public ce vendredi 26 février 2021.
 

Dès la première phase de ce nouveau rapport publié ce vendredi 26 février 2021, Human Rights Watch (HRW) lâche le morceau : « Lors d’une attaque commise par des soldats camerounais le 1er mars 2020, au moins 20 femmes – dont quatre femmes handicapées – ont été violées, un homme tué et 35 autres arrêtés ». Une attaque qui s’est déroulée au village d’Ebam, dans le département de la Manyu, région du Sud-Ouest, et constitue selon l’ONG, « l’une des pires perpétrées par l’armée camerounaise ces dernières années ».

HRW dit avoir obtenu des informations en rapport avec cette attaque, au cours de laquelle les soldats camerounais sont également accusés d’avoir incendié une maison, de pillé de nombreuses autres, et infligé des sévices corporels à des hommes embastillés dans cette localité et conduits dans un camp militaire. L’organisme regrette que ce triste événement soit passé inaperçu et que les autorités, bien courant de la situation, n’aient pas mené une enquête pour tenter d’établir les responsabilités.

« Un an plus tard, les survivants de l’attaque d’Ebam ont désespérément besoin de justice et de réparations et sont choqués de voir que ceux qui leur ont fait subir des violences sont libres et que leurs actes sont restés sans conséquence », commente Ida Sawyer, directrice adjointe de la division Afrique à Human Rights Watch.

Cameroun – Manifestation: L’ambassade de France célèbre le vélo sur les routes de l’Ouest

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La 3ème édition du Cyclotour route des chefferies réunit depuis jeudi du beau monde qui outre les courses de vélo, va s’atteler durant trois jours aux activités en rapport avec le tourisme, l’action humanitaire, la culture et l’artisanat.
 
Ce vendredi 26 février 2021, s’est courue sur le trajet Bafoussam-Foumban-Bafoussam la 1ère étape de la 3ème édition des randonnées cyclistes baptisées: «A la découverte des villes et villages du Cameroun à vélo: Sur la Route des Chefferies». Les quelques 200 participants vont de nouveau s’affronter le 27 février sur le circuit Bafoussam-Mbouda-Bafou-Dschang et le dimanche 28 février, dernier jours de course, sur le parcours Dschang-Kekem-Bafang-Bana-Bangangté.

Ces courses cyclistes font partie d’une série de manifestations organisées par l’Ambassade de France au Cameroun, la Route des chefferies et l’Association Les Mariannes en partenariat avec l’Office Régional de Tourisme de l’Ouest Cameroun (ORTOC) et Douala Vélo Club.

L’événement encore appelé «Cyclotour Route des chefferies» regroupe cette fois-ci dans la région de l’Ouest des cyclistes professionnels, des vétérans, des amateurs, mais aussi des personnalités à l’instar des membres du corps diplomatique, des membres du gouvernement, des directeurs généraux des sociétés françaises et camerounaises, élites, chefs traditionnels, et d’autres participants issus de diverses couches sociales.

Le Cyclotour Route des Chefferies est une activité de loisir non compétitive ayant des objectifs sportifs et sanitaires (Promotion du cyclisme au Cameroun, encouragement de la pratique du vélo comme sport et loisir), touristiques (promotion de l’écotourisme dans l’Ouest Cameroun, visite des chefferies, des musées ainsi que les cases patrimoniales), humains et humanitaires (remise de dons et  appui psychosocial aux populations démunies avec des dons humanitaires à Foumban, Bafou, Bangangté).

L’Association ASCOVIME (Association des Compétences pour une Vie Meilleure) organise à l’occasion, une campagne de consultation et de soins gratuits le 27 février à Bafou (école publique de Bafou chefferie) pour plus de 1000 personnes. Plusieurs activités sont prévues. Notamment les randonnées, le tourisme, l’action humanitaire, l’artisanat. Ce Jeudi 25 février à Bafoussam, la Route des chefferies et l’Ambassade de France ont présenté le projet au cours d’une conférence de presse. A chaque étape, un point de presse sera organisé à l’occasion des actions humanitaires.

Cameroun – Enseignement Supérieur: Traque contre les étudiants mal vêtus à l’Université de Dschang (Ouest)

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Les cops de la faculté d’Agronomie et des sciences agricoles de cette institution universitaire sont visés par une mesure du doyen de ladite faculté, qui proscrit désormais le port des tenues extravagantes et indécentes dans l’enceinte du campus.
A l’Université de Dschang dans le département de la Menoua, région de l’Ouest, plus rien ne sera comme avant pour les étudiants de la faculté d’Agronomie et des Sciences agricoles. Ils ne sont plus libres de se vêtir à leur guise, et ont désormais à leur trousse le doyen de ladite faculté, Bitom Oyono, qui a décidé le 16 février 2021 de l’interdiction des tenues extravagantes et indécentes à ses étudiants dans l’enceinte du campus, rapporte le quotidien Mutations de ce vendredi 26 février 2021.

«Les casquettes et les vêtements décolletés, les tenues laissant apparaitre le ventre, le dos, la poitrine et les dessous, les coiffures extravagantes ou multicolores, les grosses lunettes fumées, les barbes hirsutes, les shorts, les culottes, les pantalons de jogging et les pantalons jeans déchirés etc. sont proscrits. Tout étudiant dont la tenue vestimentaire ou corporelle sera jugée inappropriée se verra interdire l’accès à l’établissement et sera renvoyé à son domicile afin de se changer», a indiqué l’universitaire dans sa correspondance.

En clair, il appelle à un habillement décent, en mettant un accent sur le sens de la responsabilité de ses étudiants. Le canard de Georges Alain Boyomo ajoute par ailleurs qu’aux cops des niveaux 4 et 5, Bitom Oyono exige le port des costumes et des tenues traditionnelles d’apparat.

Cette mesure vient ainsi rompre avec l’image qu’on s’est faite au sein de l’opinion de l’université, comme d’un environnement où l’étudiant est libre de tout, y compris des pratiques qui contribuent à le déshumaniser. A l’Université de Yaoundé II, et dans plusieurs autres universités d’Etat d’ailleurs, des codes vestimentaires sont déjà imposés aux étudiants, lesquels finissent par s’y faire malgré des gorges chaudes.

Marche de soutien à Sa majesté Sokoudjou : la police assiège l’arrondissement de Bamendjou

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Très tôt ce samedi matin, la ville était quadrillée par un important dispositif de gendarmes et de policiers.

La police a empêché ce samedi 30 janvier 2021 à Bamendjou, dans la région de l’Ouest, la tenue d’une marche de soutien à Sa majesté Sokoudjou. Très tôt ce matin, la ville était quadrillée par un important dispositif de gendarmes et de policiers.

Dans une note, le sous-préfet de Bamendjou, Elvis Landry Ndergouillot Marigor a « interdit sur toute l’étendue du territoire de l’arrondissement de Bamendjou, la tenue de toutes manifestations publiques pour la période allant du 29 au 31 janvier 2021. »

Le sous-préfet prévient que tous les contrevenants aux dispositions de la présente décision s’exposent aux sanctions prévues par réglementation en vigueur : « Le commandement de la gendarmerie, le chef de poste de sécurité et le représentant du commissaire spécial sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution stricte de la présente décision qui sera enregistrée et communiquée partout où besoin sera. », conclut-il.

Cette décision intervient au moment où les populations de la localité projettent une grande marche le 30 janvier pour exprimer leur soutien au roi Sokoujou.

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